Oracles

Je dois avouer que jusqu’à présent, je préfère de loin l’utilisation d’un bon vieux Tarot traditionnel à celle des cartes Oracles.

J’ai débuté avec celui de l’Aigle Blanc, mais je suis loin d’être convaincue. D’une part, la facture visuelle laisse à désirer, le format des cartes, à l’instar de celui de bon nombre d’Oracles est beaucoup trop grand à mon goût.

Par contre sa structure en trois niveaux d’apprentissage est intéressante. Je suis franchement déçue de ne pas aimer davantage à l’utiliser, car je trouve son concept de base avec les cartes novices – animaux; disciples – ancêtres et initiés.

Au niveau du contenu, même si je ne peux prétendre à une excellente connaissance de la spiritualité des Premières nations, je préfère de loin certains autres écrits dont La Forêt vive un recueil de récits que Rémi Savard a recueilli à Unamen Shipu et Récits de Mathieu Mestokosho, chasseur innu de Serge Bouchard, ou dans un autre registre des poètes et des romanciers autochtones.

Si la question de la spiritualité autochtone vous intéresse, je vous suggère plutôt une visite musée virtuel Nametau innu. Voici un lien vers la légende des oiseaux d’été racontée par Joséphine Bacon. 

Je vais écouter la structure de ce Tarot et prendre une pause après l’enseignement du Novice et je vais plutôt retranscrire les Oracles par ordre d’intérêt et non plus alphabétiques et je vais donc débuter par l’Oracle de la Wicca !